En Pennsylvanie, le 4 octobre dernier, un automobiliste est convaincu d’avoir croisé la route de ce qui semblait être Bigfoot.
L’incident singulier, signalé à l’organisation Bigfoot Field Researchers par un témoin qui souhaite garder l’anonymat, s’est produit en direction ouest sur l’Interstate 80. Alors qu’il roulait derrière une autre voiture, l’homme a aperçu une silhouette au milieu de la bande d’arrêt d’urgence, à sa droite. Dans sa déclaration il a écrit :
« En m’approchant, la silhouette a commencé à se déplacer vers la gauche, en direction de la voiture qui me précédait », un déplacement qui aurait pu lui être fatal. Le témoin a d’ailleurs cru que le présumé Bigfoot allait se faire percuter.
Heureusement, plus de peur que de mal, car la silhouette traversa l’autoroute en courant devant la voiture, en direction de la glissière centrale de sécurité. C’est au moment où la créature dépassa le véhicule qui le précédait, que le conducteur put apercevoir sa tête, ce qui laissait supposer que l’être bipède était assez grand.
« À ce moment-là, je l’ai mieux vue », se souvient l’homme, précisant que le Bigfoot présumé était « complètement sombre, d’une seule couleur », avec une « silhouette mince » et « de longs bras qui n’étaient pas levés lorsqu’il se déplaçait ».
LE TEMOIN FUT SURPRIS PAR LA DEMARCHE DU BIGFOOT
Chose étrange, le témoin rapporte qu’il fut surpris par la démarche inhabituelle de la créature, remarquant qu’elle semblait « glisser » sur la route plutôt que de courir.
L’incident, intense et bref, prit fin lorsque le présumé Bigfoot franchit sans effort la rambarde et disparut de la vue. En tant que chasseur expérimenté, il est certain que la créature n’était pas un ours, l’homme confia : « Je sais ce que j’ai vu, mais je ne sais pas ce que j’ai vu ».
Curieusement, cette observation, début octobre, eut lieu à une trentaine de kilomètres de Penn State et fait suite à un incident en février dernier, au cours duquel un chasseur rapporta une rencontre troublante avec Bigfoot à seulement cinq kilomètres de l’université.
LE PANDA PROUVE QUE RIEN N’EST FIGE DANS LE MARBRE
La cryptozoologie est un sujet passionnant, très souvent catalogué comme folklorique par la science, mais qui permet de poser cette question : reste-t-il de grands animaux à découvrir sur notre planète ? Une question légitime quand on sait que le panda n’a été découvert que le 11 mars 1869 par une missionnaire du Pays Basque, l’Abbé Armand David. Jusqu’à cette date, l’ours noir et blanc était considéré comme une légende.
C’est en voyant, chez un habitant de la vallée de l’actuel comté de Baoxing dans la province du Sichuan, au sol, la peau d’un ours noir et blanc que le missionnaire engagea des chasseurs qui lui rapporteront plusieurs spécimens.
En avril 1869, l’Abbé adresse une lettre au zoologiste Milne Edwards du Muséum national d’histoire naturelle de Paris dans laquelle il lui demande « de publier de suite la description sommaire d’un ours qui [lui] paraît devoir être nouveau pour la science », et qu’il va nommer Ursus melanoleucus (ours noir et blanc). La description jointe était la suivante :
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Bob Bellanca (rédaction btlv source bfro.net – photo home page @btlv via adobe stock)
